Translate

mercredi 13 décembre 2017

La CAF, 3e Lieu Saint de l’islam

 
 
caf-



Scène de vie ordinaire devant l’entrée des locaux d’une caisse d’allocations familiales de province.

Le chercheur Jean-Paul Gourévitch et Contribuables Associés ont calculé les principaux coûts de la politique migratoire de la France.
Une infographie extraite d’une des dernières étude de Contribuables Associés  » Les migrations méditerranéennes » fait frémir.
Les arrivées supplémentaires de migrants auraient coûté plus de 600 millions d’euros aux contribuables Français.
Ce qui est encore en dessous de la réalité.

Du côté de la CAF (Caisse d’Allocations Familiales), un cadre, qui préfère garder l’anonymat, nous explique : « Le coût de grâce à notre équilibre budgétaire a été donné lors du sommet européen du 23 septembre 2015, il avait été demandé à la France de porter sa capacité d’accueil jusqu’à 30 000 réfugiés dans le cadre d’un « plan de relocalisation des migrants ».
La France avait fini par accepter et a confirmé ce choix en début d’année 2016.
30 000 migrants supplémentaires en deux ans génère au bas mot une dépense basse de 405 millions d’euros.

C’est la facture des engagements de la France… ».
Rien à voir avec les déclarations de Michel Sapin, ministre des Finances, qui annonçait un coût de « quelques millions d’euros ».
Si on compare avec les pays étrangers, l’Allemagne, qui avait prévu d’accueillir 800.000 migrants, avait réservé une enveloppe de 10 milliards d’euros, soit un coût unitaire de 12.500 euros (supérieur à notre estimation annuelle), mais ses procédures plus rapides permettent de régler une situation sur 12 mois.
En France, la Cour des comptes a, quant à elle, fixé l’étiage à 13.724 euros pour un demandeur d’asile et à 5528 euros pour un débouté, sous réserve qu’il ne reste pas en France après la décision. On doit retenir ces chiffres : un coût de 13.724 euros pour un demandeur d’asile et de 5528 euros pour un débouté selon la Cour des Comptes

Contrairement à la langue de bois constamment affichée, le coût d’un migrant irrégulier en France est plus élevé que chez nos voisins, en raison même de notre système d’allocations familiales et de notre protection sociale.

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

lesobservateurs.ch

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.