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mercredi 14 juin 2017

Afrique : ces réfugiés dont personne ne parle

Le 14/06/2017
 
Boers 1

 
   
A l’heure où l’agenda globaliste impose aux peuples européens d’accepter un flux ininterrompu d’étrangers par millions, il est intéressant de se projeter dans une situation qui évoque un avenir possible pour nos peuples.

Un avenir où des minorités blanches frappées par une crise économique systémique devraient survivre au sein d’une population non-européenne.
La situation des Boers pauvres d’Afrique du Sud s’avère ici très instructive, voire même anticipatrice à bien des égards.
La situation de ces Euro-Africains d’Afrique (comme il existe des Afro-Américains en Amérique) évoque ce qui attend les peuples européens dans de nombreuses parties du continent européen si rien n’est fait pour stopper la substitution de peuple en cours.
 Qu’on appelle ce processus « Grand Remplacement », ethnocide ou plus clairement génocide des peuples européens par immigration forcée ; la logique implacable de la démographie, fera que les peuples européens, dans quelques décennies, seront minoritaires chez eux.
 Devenant ainsi peut-être de futurs peuples « natif-européens » survivants dans les décombres de leurs cultures comme on parle de « natif-américains » pour désigner les rescapés du génocide des indiens d’Amérique du Nord par les pionniers anglo-protestants.
Sans la sidération médiatique constante que nous subissons, c’est naturellement vers ces peuples frères que se tourneraient les élans solidaires des européens, plutôt que vers les masses afro-islamiques qui nous submergent depuis des années.
Voici ci-dessous des photos et des extraits d’articles parus sur certains sites anglophones concernant la situation alarmante des blancs pauvres d’Afrique du Sud.
 On y voit des images que l’on ne montre jamais en France : des bidonvilles de blancs.
Des bidonvilles de blancs comme il en existera peut-être bientôt en Europe de l’Ouest et en France si rien n’est fait pour juguler sérieusement l’immigration de masse et le déclin économique de l’Europe.

Boers barraque 2

Boers 2

Un article internet du Daily-Mail anglais de février dernier titrait ainsi :  « Les « camps de squatters blancs » d’Afrique du Sud. »
Il continue : « Les bidonvilles construits après la chute de l’apartheid sont maintenant la maison de centaines de familles.
Les ouvriers blancs, pour la plupart d’entre eux parlant Afrikaans, subissent une crise intense en Afrique du Sud.
Ceci est l’un des 80 cantons de squatters blancs où les familles vivent dans la pauvreté, avec peu d’eau courante et de nourriture.  
Cherchant à détruire des années d’inégalité raciale, le Congrès National Africain (ANC) au pouvoir a introduit des lois qui favorisent l’emploi pour les noirs et visent à leur donner une plus grande part dans l’économie. Cela, ainsi que la crise financière mondiale, amène beaucoup de sud-africains blancs à connaître des temps difficiles. « 

S’en suit une série de photos significatives comme on n’en verra jamais dans la presse française.
Des photos sous-titrées : « Voici les conditions quotidiennes endurées par les familles des camps de squatters blancs d’Afrique du Sud. Camps où il y a peu de nourriture, d’eau courante et pas d’électricité. »
Qui en France, chez nos bonnes âmes médiatiques, pour s’alarmer du sort de ces populations d’origine européenne ?

boers 4
 
Boers barraque
 
Boers 9

Le site whitegenocideproject.com écrit quant à lui :
 « En Afrique du Sud, les Boers pauvres sont contraints de vivre dans des bidonvilles parce que l’ère Mandela ne s’est pas avérée aussi radieuse que promise.
 Pendant plus d’une décennie, des lois ont été mises en place qui ont mis délibérément les blancs dans une situation désavantageuse lorsqu’ils cherchent du travail.
400.000 sud-africains blancs vivent dans la pauvreté, près d’un sur dix.
Pour les blancs sud-africains qui sont assez chanceux pour trouver du travail, il faut se soucier ensuite de ne pas être violé, torturé ou assassiné s’ils travaillent dans des fermes.*
Il y a environ plus de 80 camps pleins de Blancs paria dans le pays».

La situation va si mal pour les blancs que le candidat noir aux élections présidentielles Julius Malema a dû promettre que « jamais un génocide blanc n’aura lieu sous notre présidence ».
 Il faut dire que le même Malema avait repris le célèbre chant « shoot the Boers, kill the farmers » devant un public noir enthousiaste quelque temps auparavant.
Voilà bien où mènent les concepts fous comme la fameuse « discrimination positive ».
Autrefois, quand les Boers étaient les victimes des pratiques ethnocidaires des Anglo-Saxons, la France soutenait* – même militairement – les Boers face à la perfide Albion.
Aujourd’hui, sous le bombardement médiatique continu, qui s’émouvra du sort de ces lointains cousins d’Afrique du Sud que nos ancêtres jugeaient digne de secourir ?
Et si, comme le rappelait encore récemment Alain de Benoist : « aimer les siens ne signifie pas détester les autres » – adage que nous faisons nôtre depuis toujours – il est plus que temps pour les autochtones de l’Europe, les peuples natifs-européens, de se réveiller et de s’organiser afin de ne « pas finir comme eux »; comme titrait une célèbre affiche politique montrant un indien d’Amérique comme symbole de notre avenir possible.
A l’heure du Grand Remplacement des Européens sur leur propre sol par la conjonction de l’agenda mondialiste et de l’élan démographique des peuples du sud, il est plus que vital de réagir.
Avant qu’il ne soit trop tard.*

Pierre-Antoine Plaquevent

* D’après l’association « Genocide Watch« , depuis 1994 plus de 70 000 Sud-Africains blancs ont été assassinés, dont plus de 4000 étaient des agriculteurs.
L’association estime que près de 2% de la populationd des Sud-Africains blancs ont été tués au cours des 18 années de l’après apartheid et que plus de 400 000 personnes blanches ont quittés l’Afrique du Sud. http://www.genocidewatch.org/images/White_Genocide_TVA.pdf

*La France et la guerre des Boers : https://antredustratege.com/2014/09/14/la-france-et-la-seconde-guerre-des-boers-1899-1902

*Même les médias dominants doivent maintenant admettre la réalité de l’effondrement démographique européen :    http://fr.euronews.com/2016/05/27/une-bombe-a-retardement-demographique-menace-l-europe/

 
Boers 8
 
Children walk through a squatter camp for poor white South Africans at Coronation Park in Krugersdorp, March 6, 2010. A shift in racial hiring practices and the recent global economic crisis means many white South Africans have fallen on hard times. Researchers now estimate some 450 000 whites, of a total white population of 4.5-million, live below the poverty line and 100,000 are struggling just to survive in places such Coronation Park, a former caravan camp currently home to more than 400 white squatters. Picture taken March 6, 2010. To match feature SAFRICA-WHITES REUTERS/Finbarr O'Reilly (SOUTH AFRICA)
 
People attend an Afrikaans Sunday service in a makeshift tent church at a squatter camp for poor white South Africans at Coronation Park in Krugersdorp, March 7, 2010. A shift in racial hiring practices and the recent global economic crisis means many white South Africans have fallen on hard times. Researchers now estimate some 450,000 whites, of a total white population of 4.5 million, live below the poverty line and 100,000 are struggling just to survive in places such Coronation Park, a former caravan camp currently home to more than 400 white squatters. Picture taken March 7, 2010. To match feature SAFRICA-WHITES/ REUTERS/Finbarr O'Reilly (SOUTH AFRICA - Tags: SOCIETY BUSINESS RELIGION)
 
Accountant Vernon Nel checks his email on generator-powered computers using a wireless modem in a tented home attached to caravan that he shares with six other people at a squatter camp for poor white South Africans at Coronation Park in Krugersdorp, March 13, 2010. A shift in racial hiring practices and the recent global economic crisis means many white South Africans have fallen on hard times. Researchers now estimate some 450 000 whites, of a total white population of 4.5-million, live below the poverty line and 100,000 are struggling just to survive in places such Coronation Park, a former caravan camp currently home to more than 400 white squatters. Picture taken March 13, 2010. To match feature SAFRICA-WHITES REUTERS/Finbarr O'Reilly (SOUTH AFRICA)
 
Residents of a squatter camp for poor white South Africans line up for a communal meal at Coronation Park in Krugersdorp, March 12, 2010. A shift in racial hiring practices and the recent global economic crisis means many white South Africans have fallen on hard times. Researchers now estimate some 450 000 whites, of a total white population of 4.5-million, live below the poverty line and 100,000 are struggling just to survive in places such Coronation Park, a former caravan camp currently home to more than 400 white squatters. Picture taken March 12, 2010. To match feature SAFRICA-WHITES REUTERS/Finbarr O'Reilly (SOUTH AFRICA)
 
Boers gamin
 


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