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mercredi 19 avril 2017

Non, l’immigrationniste Mélenchon n’est pas l’ami des travailleurs !

 


Le 19/04/2017

 
Il a, en 2012, dès 20 heures, au soir du premier tour, offert sur un plateau ses 11 % au candidat Hollande, dont il ne pouvait ignorer le programme.
 
Il peut paraître incongru de qualifier d’ennemi des salariés un candidat qui « use sa vie à défendre les travailleurs » (c’est lui qui le dit), demande les 32 heures hebdomadaires, la retraite à 60 ans, le SMIC à 1.700 euros et l’abrogation de la loi El Khomri.
Pourtant, rappelons la situation.
La France compte, à ce jour, le chiffre record de plus de 6 millions de chômeurs (catégories A, B, C, D, E).
 Rappelons, au passage, l’immense responsabilité du candidat du Front de gauche dans cette catastrophe.
 Il a, en 2012, dès 20 heures, au soir du premier tour, offert sur un plateau ses 11 % au candidat Hollande, dont il ne pouvait ignorer le programme, l’ayant fréquenté 31 ans au PS.
Comment un homme de gauche peut-il défendre toujours plus d’immigration et la régularisation des clandestins, quand 6 millions de personnes sont déjà sans travail ?
 Faut-il lui rappeler que la CGT, dès les années 1920, accusait le patronat d’utiliser les étrangers contre les acquis sociaux, et réclamait leur renvoi ?
 Après la crise de 1929, c’est la gauche qui a voté des textes très durs imposant la préférence nationale (loi Herriot de 1932 et décrets-lois Daladier de 1938).
Cette vision immigrationniste de Mélenchon est d’autant plus scandaleuse qu’il a vécu, fort bien, et toute sa vie, de fonctions électives réservées aux seuls Français.
D’autre part, toute sa garde rapprochée travaille dans la fonction publique et bénéficie de la priorité nationale qu’elle refuse aux salariés du privé, victimes de l’invasion migratoire et de la présence des travailleurs détachés sur le sol français.
Mais cela ne s’arrête pas là.
Le travailleur n’est pas qu’un être déshumanisé vendant sa force de travail le mieux possible.
C’est aussi un humain qui a une famille et qui aspire à vivre dans le meilleur cadre possible.
 Or, depuis trente années, à cause de la politique migratoire prônée par toute la caste politicienne, la France s’est ensauvagée, comme le démontre si bien Laurent Obertone dans La France Orange Mécanique.
 Ce sont les travailleurs pauvres, mais aussi les retraités modestes, qui n’ont pas les moyens de fuir les zones islamisées qui en sont les premières victimes et vivent un enfer quotidien dans les périphéries urbaines.
Ce sont les enfants de ces salariés modestes et de chômeurs qui, à l’école, se retrouvent minoritaires dans les cours de récréation, et trop souvent victimes de racket, de racisme ou d’agressions gratuites. Les gosses d’ouvriers ne bénéficient plus, dans une école où on ne transmet plus les savoirs, de l’ascenseur social qui permettait à un Henri Guaino, élevé seul par une mère femme de ménage, de réussir de brillantes études.
Des centaines de milliers de Français de condition modeste attendaient, depuis des années, d’être mieux logés, et figuraient sur des listes d’attente.

Parmi eux, des travailleurs qui, parfois, dormaient dans leur voiture.

Mais des milliers de clandestins, majoritairement hommes seuls musulmans, qui n’ont jamais cotisé, passent devant ces salariés modestes qui attendaient sagement leur tour.

 Et les belles âmes de la gauche immigrationniste s’en foutent, comme ils se moquent que 500 SDF, majoritairement français, meurent sur les trottoirs tous les ans.
Si Mélenchon appliquait son programme sans-frontiériste, ce sont des millions de clandestins qui débarqueraient sur le territoire français, mettant en danger, par leur nombre et leur coût, tous les régimes solidaires mis en place grâce au rapport de forces créé par le monde du travail et ses organisations syndicales.
Sans parler de notre mode de vie, et de la sécurité des femmes…
 
C’est pourquoi les ouvriers, que Mélenchon ne connaît pas, ne fréquentant que des bureaucrates syndicaux, votent peu pour lui, malgré toutes ses belles promesses.



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