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lundi 2 mars 2015

À Lille, l’étranger oublie sa demande d’asile chez l’homme qu’il agresse en réunion et avec arme : il ressort libre du tribunal.

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Chaque jour apporte son lot de faits divers mettant en cause des étrangers venus piller la France sans le moindre égard pour nos lois, pas plus que pour les Français qui les hébergent et les nourrissent.
 
 Les demandeurs d’asile sont souvent présentés par les associations d’extrême gauche comme des étrangers à part, des gens qui ont souffert, et qui ne cherche qu’un asile sûr et ne demande qu’à s’intégrer.
Un air aussi connu que mensonger, comme l’illustre, parmi tant d’autres, une affaire survenue à Lille l’année dernière et jugée ce lundi.
Le 9 mai 2014, un homme était violemment agressé chez lui par plusieurs individus à Lille.
 Après avoir roué de coups leur victime, notamment avec un pied de table, les agresseurs quittent les lieux… en abandonnant, pour l’un d’eux, sa fiche de demande d’asile en France.
L’agresseur est Sadic H., un Bosniaque de 46 ans.
Il est à noter que ce prétendu « demandeur d’asile » vient d’un pays, la Bosnie-et-Herzégovine, qui n’est plus en guerre depuis 20 ans et dont la situation sécuritaire n’est pas pire qu’en France.

La police l’a retrouvé il y a peu ; les fonctionnaires l’ont arrêté la semaine dernière.
 Il avait, au moment de son interpellation, 3 grammes d’alcool dans le sang.
Après sa garde à vue, il a été jugé lundi en comparution immédiate.
Alors que les agresseurs ont agi en réunion et étaient venus armés, l’avocat de l’étranger a prétendu, contrairement aux dires de l’accusé, que ce n’était « pas une expédition punitive », que le Bosniaque violent avait « juste » « pété les plombs ».
 
Que pensez-vous que la « justice » a infligé à cet étranger asocial qui profite de l’argent des Français pour s’alcooliser toute la journée et qui agresse des gens – il a prétendu à l’audience que l’homme qu’il a agressé en réunion et avec arme avait « insulté » son père ?
 Cinq ans de travaux forcés suivis d’une expulsion immédiate et définitive du territoire ?
 
Rien de tout cela évidemment : les juges rouges l’ont condamné à six mois de prison.
Il n’y a pas eu de mandat de dépôt à l’audience et le délinquant étranger a été relâché immédiatement dans les rues de France.
 
Rappelons qu’en Vendée, deux jeunes Français ont écopé de 18 mois de prison dont six ferme pour avoir peint des messages politiques dans la ville de Challans.
 
 Ils ont été incarcérés à l’audience.
 
Vincent Reynouard a été condamné à deux ans de prison pour avoir remis en cause la version juive de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale.
 
Le directeur de Jeune nation est poursuivi pour de simples messages sur Twitter pour une prétendue « apologie de terrorisme ».
 
Il risque sept ans de prison et 100 000 euros d’amende.
 

1 commentaire:

  1. Nos Politiques se vantent que notre Justice soit indépendante.
    Lorsque l’on sait que les jugements sont rendus selon les lois, par nature, imparfaites, mais aussi selon l’intime conviction des Juges qui sont des Hommes comme tous les autres, c’est-à-dire faillibles, pouvant être partisans, partiaux par intérêt ou idéologie, ..., l’indépendance de la Justice peut conduire à des jugements iniques, dont l’exemple précité est loin d’être l’exception,
    lorsque l’on sait que les Avocats n’ont, le plus souvent, pour principale ambition, que de gagner leur procès, jusqu’à utiliser des arguments mensongers pour défendre leur client (j’ai eu personnellement à en souffrir)…,
    lorsque l’on sait que le système use, légalement, des procédures aux méandres multiples et vaseuses, qui ont souvent pour effet de faire perdurer les procès au détriment des victimes,
    lorsque l’on sait que les lois sont, en démocratie, le fruit de majorité passagère qui fait passer sa vision idéologique avant celle de l’ensemble des concitoyens,
    lorsque l’on prétend que la Justice est rendue au nom du peuple français, on ne peut que sourire, devant des faits, comme ceux précités qui ne peuvent que révolter,
    lorsque l’on constate, en effet, que la liberté d’expression peut conduire en prison des concitoyens français et que des agressions d’étrangers sont impunies …,
    lorsque l’on sait le corporatisme des Hommes de lois et les difficultés quasi insurmontables de mettre en cause les défaillants,
    peut-on encore se réjouir et se flatter des vertus de l’indépendance de la Justice française ?

    Ou bien on invite à réaliser que le système est à réformer dans le bon sens de la lucidité, de l’équité, de la morale, de l’éthique, de l’impartialité, des principes républicains, qu’impliquerait une justice démocratique française,
    ou bien, on se soumet et on accepte de ne plus être respecté, de mettre au placard nos principes républicains.

    Je terminerais bien en chanson : « Aux armes, citoyens … », mais ce serait aussi risqué que malvenu du fait qu’il n’est nullement question de prendre les armes pour changer un système défaillant, d’autant qu’il s’agit de l’indépendance « sacrée » de la Justice.
    Pierre Gouverneur
    transrealisme.org

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