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mardi 30 septembre 2014

Violée à 76 ans, mais le racisme anti-blanc n’existe pas…

 
ivry


Le 29 septembre 2014


   
"Bien vivre ensemble", qu'on nous dit ? On ne l'y reprendra plus.

Elle vit depuis des années dans un appartement à Ivry-sur-Seine.
 Depuis quelques mois, tout comme ses voisins, la vieille dame pâtit des regroupements de jeunes sous ses fenêtres.
 Beaucoup de bruit, des incivilités, des jeunes désœuvrés colonisant les halls d’immeuble et cherchant souvent la bagarre avec les résidents ; sans parler de la drogue qui les met en état second.
 Bref, à 76 ans, quoi de plus légitime que souhaiter vivre paisiblement ?
Mais de sa fenêtre, la vieille dame importunée décide bravement, à de nombreuses reprises, d’instaurer un dialogue.
Vous savez, celui qui est une source d’enrichissement culturel, celui grâce à qui les conflits disparaissent comme par enchantement.
Bien mal lui en prit, les jeunes redoublent les insultes, la menacent de représailles et finissent par lui promettre les pires sévices.
Qu’ils mettront à exécution le 7 août dernier, une fois le compagnon de la mamie parti au travail. Courageux mais pas téméraires, les jeunes…
Et pendant que trois fous furieux fouillent le logis, un quatrième… viole la pauvre femme de 76 printemps.

Son crime ?
 Entre autres, celui d’être blanche.
C’est donc logiquement du racisme anti-blanc.
Absolument pas, répondrait Sihem Souid, la chargée de mission « au service de l’accès aux droits et de l’aide aux victimes » auprès de Christiane Taubira.
 Il faut bien comprendre une fois pour toutes, nous autres, que le racisme anti-blanc est une imposture, il n’existe pas.
Selon la grille de lecture de Sihem Souid, il y a deux types de racisme : l’un est systémique ou structurel et renvoie l’autre à un moment donné de son histoire où, dans son groupe d’appartenance, les individus étaient considérés comme des « sous-hommes » ; l’autre est épidermique, ponctuel ou conjoncturel car il ne porte préjudice… à personne !
 Au fond, le premier mérite (presque) la potence, le second n’est que balivernes.

Réfléchissons : en tentant de discuter avec ces jeunes, en toute amabilité et comme il se doit entre gens civilisés, la vieille dame aurait donc insulté l’Afrique et l’Arabie réunies, tandis que crier « sale blanc » n’est que l’expression ponctuelle de l’imbécillité de son auteur.
Et violer une femme blanche et âgée, c’est l’œuvre d’un imbécile aux réactions épidermiques n’entraînant aucun préjudice, peut-être ?

L’enquête fut longue et difficile car le principal suspect naviguait d’un hôtel à un autre avant d’être enfin intercepté dans le Val-de-Marne.
Ses trois complices sont toujours recherchés.
 Passant aussi d’un hôtel à l’autre, on le présume.
Allons-nous entendre que ces criminels sont aussi des jeunes en difficulté sociale et financière ?
Au point où on en est…

En attendant, et depuis cette funeste journée, la vieille dame vit les volets constamment fermés.

« Bien vivre ensemble », qu’on nous dit ? On ne l’y reprendra plus.

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