Translate

lundi 18 mars 2024

Pendant ce temps là, en France

 

 

J'attends les JO avec impatience

A ce stade, un lieu de simulacre. D’entraînement. 
 
 Le jour où les gamins décideront d’utiliser autre chose que des feux d’artifice, on comprendra. 
 
La simple prise de vitesse des FDO visible dans la première vidéo et leur encerclement conséquent permettent de comprendre la vulnérabilité de ces « postes avancés » du pouvoir et partant, du pouvoir lui-même. 
 Encerclés, dominés par un urbanisme de tours qui donne un avantage tactique aux populations, comme le montre la dernière vidéo, il ne subsiste que par la puissance (éphémère ?) de ses extériorités: unités mobiles, justice, prison. 
Le territoire lui même lui échappe complètement. 
 Le jour donc où aux mortiers d’artifice se substitueront de vrais projectiles ; et où les caméras des habitants seront remplacées par des objets contondants ; ce sera l’embrasement et la défaite. 
Ces simulacres doivent donc être pris pour ce qu’ils sont: des avertissements. 
 Le gouvernement sait que des armements autrement plus lourds circulent à quelques pas de là. 
 
Les gamins savent qu’ils savent. 
Et tout cela est comme le fil du funambule, prêt à rompre à tout instant. 
Chacun sait ce que la bascule peut couter. Alors comme dans un rituel archaïque, on fait mine de s’affronter. 
A coup de feux d’artifice. 
 
 Pour l’instant.

Jour de la fête nationale russe en 2023.

 

 

Poutine : entre triomphe des BRICS et contestations de l’Occident - JT du lundi 18 mars 2024



 Publiée le 18/03/2024

La Une sur la réélection sans surprise de Vladimir Poutine qui a déclenché l’hystérie occidentale…

Nous évoquerons ensuite les violences à La Courneuve après la mort d’un jeune homme qui tentait d’échapper à une voiture de police.

Et puis pour terminer, nous reviendrons sur les prouesses de Bruno Le Maire. Alors que le terrain économique est un naufrage, le ministre proposera bientôt un nouveau livre qui parlera cette fois, non pas de ses déboires sexuels mais de politique. 

Scoop énorme : Piotr Tolstoi lâche une bombe: Le général Georgelin ne serait pas mort dans les Pyrénées


Le mont Valier est un sommet de 2 838 m situé dans les Pyrénées ariégeoises.


Scoop énorme : Piotr Tolstoi lâche une sacrée info Puis j’ai vérifier sur le site de l’armée française ils n’ont pas cité de lieu ni de cause à la mort du Gal Georgelin La presse avait parlé d’accident en montage Mais la … boom Il serait mort en Ukraine Le bruit était très présent Mais il manquait un coup de pouce sérieux Le voici Ce proche de Macron Qui s’était vu confier la supervision du chantier “à scandales” de la restauration sacrilèges de Notre Dane Est donc peut être mort en Ukraine Un autre mensonge d’état ?


C'est donc une confirmation car,

, membre de la douma, l'avait déjà laissé entendre en Août 2023.

Les Français ont trouvé un nouveau scénario pour légaliser la mort de leurs plus hauts militaires en Ukraine, en faisant état de la mort du général Jean-Louis Georgelin, ancien chef d'état-major des forces armées françaises, lors d'une randonnée inattendue dans les montagnes. 

 Le général de 75 ans, qui ne s'était jamais intéressé à l'alpinisme auparavant, a soudainement développé une passion pour le tourisme de montagne et est parti en randonnée dans les Pyrénées... seul... et est tombé dans la région du col de Fosten, qui est situé à une altitude de 2650 mètres. 

Au clair de la lune


 

 

Gouverner par la Peur


 

Le général Coustou invité chez Bercoff déclarait: « Notre ennemi n’est pas la Russie c’est MACRON ».

 Celui-ci joue en ce moment avec le feu et particulièrement avec le feu nucléaire. 

 Décidément cette guerre Russie Ukraine finit par déranger l’esprit de ce petit président, au point qu’il s’en rende ridicule. On attend avec impatience  la négociation et la paix entre les deux belligérants, et lui veut la guerre. Une guerre terrible, où tous les jours des centaines de soldats ukrainiens sont tués inutilement. Pourquoi vouloir continuer le massacre, sinon pour assumer un besoin de vengeance personnelle contre Poutine.

Notre freluquet oublie volontairement que si l’accord de Minsk avait été respecté à  l’époque, par la France et l’Allemagne et si le couple OTAN-EU n’avait pas multiplié les provocations contre la Russie, en cernant petit à petit ce pays de bases militaires, au point que les russes se sentent menacés, ils n’auraient pas surarmé leur pays. Et de même, si les ukrainiens n’avaient pas bombardé pendant 8 ans le dombass russophile, Poutine ne serait pas intervenu pour envahir l’Ukraine.

Il est presque tout seul, mais il persiste à vouloir  la défaite d’un pays militairement imbattable et qui ne nous a rien fait, alors que déjà les jeux sont faits et que la Russie a déjà gagné la guerre sur le terrain. Et tout aussi grave, il part dans des divagations faites pour alimenter la peur dans le pays. Selon son point de vue quelque peu détraqué, il ne craint pas de faire un procès d’intention aux russes qui voudraient occuper toute l’Europe s’ils sont vainqueurs. En fait cette guerre est civilisationnelle, et les Russes refusent chez eux la décadence crasse qui sévit en France et dans tout l’Occident. Nos chers dirigeants en sont co-responsables.

La France n’aurait jamais du s’engager dans un conflit qui ne la regarde pas.

Quand les histoires d'alcôve influent sur la paix du monde


 
 
C'est devenu le meilleur moyen pour l'arrêter 
 
 

 CampagnolTVL

Exclusif: Macron prépare l’envoi de troupes au sol et mobilise 1800 réservistes

 

 

Selon des informations basées sur des interceptions de conversations et de mails, la France mobilise 1800 réservistes chauffeurs poids-lourds pour convoyer essence et matériel militaire en Ukraine. 

Marie Mercier, obscure sénatrice de la Saône-et-Loire mais vice-présidente du groupe d’amitié France-Ukraine au Sénat, semble coordonner cette opération en liaison avec André Accary (à gauche sur la photo), président du conseil départemental de Saône-et-Loire. L’organisation opérationnelle aurait été confiée à Régis Poiraud (à droite sur la photo), sous-officier de réserve et président de l’UDSOR (Union Départementale des Sous-Officiers) en Saône-et-Loire, proche de la sénatrice Mercier.

Selon un spécialiste des affaires militaires françaises s’exprimant sous condition d’anonymat, le fait que l’opération passe par des “politiques” et un maitre d’oeuvre réserviste pourrait s’expliquer par une importante fronde et “résistance passive” de nombreux officiers réticents à la volonté de Macron d’engager la France dans une guerre contre la Russie.

Le fait que les autorités aient chargé des élus du parti “Les Républicains”, parti prétendument d’opposition au président Macron, montre une fois de plus le double jeu de ce parti qui a d’ailleurs approuvé le “plan d’aide à l’Ukraine” soumis au parlement par Macron.

L’assistante de la sénatrice, contactée hier par téléphone, a immédiatement confirmé l’opération.

Macron a le temps de recevoir le CRIF, mais pas les paysans…


 Ce que j’ai vu au Salon de l’Agriculture quand Macron y était


 parÉric Verhaeghe

 

Ce soir, Emmanuel Macron, en plein agenda international chargé, met l’Elysée à disposition du CRIF pour fêter les 80 ans de cette étrange organisation très proche d’intérêts étrangers.
 
 Mais il annonce que, la même semaine, il n’aura pas le temps de recevoir les paysans, comme il l’avait pourtant promis lors de son mouvementé salon de l’agriculture. Voilà qui s’appelle avoir le sens des priorités : mieux vaut flatter un mouvement communautaire qui soutient un massacre massif de populations civiles, que traiter le problème de ceux qui nous nourrissent. On en prend bonne note. 
 
 

 

On se souvient qu’en décembre déjà, en plein massacre à Gaza, Emmanuel Macron avait reçu le CRIF à l’Elysée pour célébrer Hanouca…

 Par quelle urgence particulière le Président reçoit-il à nouveau le CRIF à l’Elysée, quatre mois après une première invitation ? Visiblement, certaines communautés ont, plus que d’autres, leur rond-de-serviette au plus proche du pouvoir.

Bref, pour les 80 ans du CRIF, Macron organise une petite fête à l’Elysée.

Sophie Binet contre Vincent Bolloré : le boycott qui fait flop


 

  

Jean Kast 17 mars 2024

« Je ne souhaite pas répondre à CNews. » Cette phrase prononcée par Sophie Binet, le 6 avril 2023, en marge de la manifestation contre la réforme des retraites, a fait le tour des réseaux sociaux. 

Une semaine, à peine, après avoir succédé à Philippe Martinez, la nouvelle patronne de la CGT s’offrait là son premier buzz médiatique.

 « Parce que je ne vais pas sur vos plateaux, expliqua-t-elle à une journaliste de la chaîne boycottée. Je m’adresse à tous les médias qui garantissent une liberté d’expression et la pluralité. » L’argument sonnait creux, mais suffit à faire la joie de la gauche médiatique.

 

 

Consciente de ce premier coup d’éclat, la syndicaliste récidiva, début 2024. « Je ne parle pas à CNews. Je ne souhaite pas vous répondre », lança-t-elle au micro rouge tendu vers elle, le 22 janvier dernier, lors d’une manifestation organisée à Paris contre la loi Immigration. Immédiatement après, la malheureuse reporter fut exfiltrée manu militari du cortège et tenue à distance de la responsable CGT. « Pas de CNews ! », aboya l’agent de sécurité au visage de la journaliste éconduite. Attachée, en théorie, à la liberté de la presse, Reporters sans frontières n’y trouva rien à redire…

Le bon filon du Bolloré-bashing

Puisque ce combat d’opérette contre une extrême droite fantasmée fait recette dans la presse, Sophie Binet a décidé d’en tirer un livre. « Une partie des classes dominantes soutient ouvertement l'extrême droite, subventionnée par de grands patrons, d'Elon Musk à Vincent Bolloré », écrit-elle dans Il est minuit moins le quart. Le patron breton y est pointé du doigt à plusieurs reprises, accusé de financer « les catholiques intégristes qui prônent le retour de la messe en latin, combattent le droit à l'IVG ou l'homoparentalité ». Rien que ça.
Surtout, la syndicaliste dénonce une tendance à la concentration des médias qu’elle juge « profondément alarmante ». Là où Bolloré passe, la liberté d’expression trépasse, semble-t-elle penser. Sauf que Mme Binet a choisi de publier son ouvrage chez Grasset, une maison d’édition détenue par… Vincent Bolloré. C’est donc le milliardaire breton, accusé d’éteindre le pluralisme, qui lui permet de dire tout le mal qu’elle pense de lui.

Le professeur Trouposol a sa seule usine d’obus quasiment à l’arrêt. La Russie tremble.

 

 

par | 18 Mar 2024 |

Les Forges de Tarbes sont en fait l’ancienne obuserie de Giat Industries, une entreprise que seuls les plus anciens ont pu connaître et ont encore en mémoire (source ici).

Ces forges de Tarbes, qui fabriquent ce que l’on appelle des corps d’obus (ce qui serait la « douille » ou l’étui d’une balle mais pour un obus), sont quasiment à l’arrêt.

« Seule usine française produisant des corps creux pour obus de grande taille, les Forges de Tarbes sont secouées, depuis plusieurs mois, par un mouvement social. D’après les syndicalistes, le site subit « un manque d’investissements » criant qui ampute sa capacité de production. Le propriétaire du site dément. L’ancienne obuserie de Giat Industries, rachetée par le groupe landais Europlasma en 2021 et ressuscitée par l’afflux de commandes lié à la guerre en Ukraine, est en proie à un mouvement social depuis plusieurs mois. »

Bref, c’est le bazar à Tarbes. C’est assez logique et compréhensible.

Nous avons patiemment détruit notre outil productif militaire.

Nous ne fabriquons plus de fusil.

Nos cartouches, elles, viennent je crois du Qatar ou des Emirats.

dimanche 17 mars 2024

Emmanuel Macron, déjà sept années de mensonges et de fausses promesses.

 


Sale gosse



 

Le journaliste politique américain Jimmy Dore a réussi à expliquer en une minute pourquoi l'opération spéciale militaire est légitime

 

Des mercenaires français seraient parmis les tués lors d'un bombardement à Odessa

 

brichelle ou jean-mi

 

 

 Prothèses à géométrie variable

 

 

Il faut se débarraser de tous ces parasites qui nous pourissent la vie

 

 

 

La terreur des mouches à merde veut faire la guerre, mais après les JO de préférence

 


 Tremble Poutine, la vague rose arrive

 

Tintin s'en va-t-en guerre



Le soldat rose



Sous le poids de la dette, Drahi cède BFM et RMC à l’armateur Rodolphe Saadé


Sous le poids de la dette, Drahi cède BFM et RMC à l’armateur Rodolphe Saadé


Le 17/03/2024
ojim.fr

L’adage est bien connu, quand une société est dans la difficulté, elle proclame urbi et orbi qu’elle ne se séparera pas de tel ou tel actif rentable.
 
Entretemps les tractations se poursuivent dans l’ombre jusqu’à l’annonce d’une cession. Ce qui vient de se passer entre Patrick Drahi et Rodolphe Saadé comme nous l’avions quasi annoncé le 3 novembre 2023

Altice et Patrick Drahi en difficulté

On se perdait un peu pour évaluer la dette totale de l’empire Drahi ; 50 milliards d’euros ? 60 milliards ? Celle de SFR est mieux connue. Lorsque l’homme d’affaires rachète SFR en 2014, il le fait à crédit et emprunte 13,5 milliards d’euros. Fin 2023 la dette pour le seul SFR se serait située presque au double, entre 22 et 24 milliards d’euros. Car il a fallu financer les rachats, entre autres d’opérateurs plus petits comme Coriolis ; le tout par le mécanisme classique de l’effet de levier : j’emprunte pour racheter et je rembourse avec les profits de l’affaire.

Mais il faut parfois de nouveau emprunter et avec des taux plus élevés. Une ligne de crédit pour Altice International de 800M€ se négociait en juillet 2020 à un taux de 2,25% passé à plus de 10% trois ans plus tard, les banques voulant couvrir le risque. Au même moment, c’est la valse des directeurs généraux chez SFR, cinq en quelques années sur fond de performances commerciales moyennes voire médiocres.

Fabius et sa course aux honneurs sans fin : et maintenant l’Académie française ?


 

 

Frédéric Sirgant 16 mars 2024

Laurent Fabius à l'Académie française ? Le non-scoop par excellence. 

Pas de quoi en faire une lettre à la Sévigné : Monsieur... Monsieur, Monsieur le Président, plus jeune Premier ministre, épousera, le mois prochain, quai Conti, Madame, Oui, vous y êtes ! La Vieille Dame ! L'Académie devrait donc accueillir en son sein l'ex-plus jeune Premier ministre, si l'on en croit Le Figaro, détrôné depuis par Gabriel Attal qui fête, ce 16 mars, ses 35 ans. Ultra-prévisible, donc, pour ce fort en thème, normalien, énarque, hiérarque socialiste, éléphant en quête de cimetière. L'Académie, on y meurt. Aucune surprise, tellement cela semble déjà écrit, déjà lu, comme dans cette nécrologie que RFI avait publiée par erreur il y a quatre ans. Toujours selon Le Figaro, Laurent Fabius « n’avait pu s’empêcher de la parcourir [...] il avait été tenté de retourner le texte amendé de ses remarques ».

Donc toute la Macronie, le mandat de Laurent Fabius au Conseil constitutionnel s'achevant en 2025, doit bruisser des noms de ses potentiels successeurs. Là non plus, aucune surprise : Édouard Philippe (tiens, on le croyait pourtant déjà à l'Élysée !), Élisabeth Borne, Richard Ferrand, François Bayrou ? Ce jeu de chaises musicales, chez ces cumulards (de la nomination) défenseurs du stupide non-cumul des mandats pour les élus locaux, jette à nouveau une lumière impitoyable sur l'emprise socialiste sur l'appareil d'État en France, puisque la Macronie, jusqu'à son ultime avatar Attal, est issue du PS. Pensons à l'indéboulonnable Jack Lang, à Pierre Moscovici, à la Cour des comptes. Éric Zemmour n'avait pas tort de dénoncer cette mainmise : « Aujourd'hui, l'État de droit, c'est l'État socialiste. »

samedi 16 mars 2024

En direct depuis Moscou : des élections présidentielles russes truquées ? Vraiment ?

 

 En direct de Moscou : l’opulence de la vie russe malgré les sanctions, par l’image

parÉric Verhaeghe

 
Après notre direct d’hier depuis des magasins moscovites, Yannick Urrien, journaliste français observateur du processus électoral en Russie, nous livre un nouveau direct depuis un bureau de vote dans la banlieue de Moscou.
 
 Il nous explique ce qu’il a vu sur les élections et donne la parole à d’autres observateurs francophones, dont des élus locaux français et un dirigeant congolais.



Comme on le voit, les observateurs peuvent circuler librement et “capturer” les images de leur choix dans les bureaux de vote.

Cet instantané est très éloigné des représentations données en France par la presse subventionnée ou d’Etat, qui représente le processus électoral comme manifestement truqué.

Nous laissons chacun se faire son idée. 

Rappelons le reportage dans les magasins moscovites hier, qui illustre l’abondance de la société russe malgré les sanctions.

Sans commentaire

 


Macron et l’Ukraine : analyse d’un charabia



 

 16 mars 2024

Le discours présidentiel sur l’Ukraine, au premier abord, semble relever de la prestation théâtrale, sur un mode auquel le président nous a habitués : parler pour le rien dire. 


Mais avec la transcription à l’écrit et l’analyse mot à mot, les incohérences apparaissent pleinement et on se pince pour se dire qu’il est le président et que ses mots engagent toute la nation. Morceaux choisis :

« Nous avons mis trop de limites dans notre vocabulaire. Nous ne sommes pas dans l’escalade. Nous ne sommes pas en guerre contre la Russie mais, soyons clairs, on ne doit pas la laisser gagner ». Qu’est ce à dire ? On ne va pas se battre, mais la Russie ne doit pas gagner ? Il fait comment ?

« La contre-offensive ukrainienne ne s’est pas passée comme prévu. La situation est difficile pour les Ukrainiens. Ils ont des limites en termes d’hommes car la Russie est un plus grand pays. Oui, ce début 2024 doit être l’année du sursaut ». Mais encore ? L’Ukraine a gagné, peut gagner, ou est sûre de perdre ?

« Nous ferons le nécessaire pour atteindre notre objectif. Si la Russie venait à gagner, la vie des Français changerait. Nous n’aurions plus de sécurité en Europe ». Si la Russie venait à gagner ? Donc elle peut gagner ? On ne saurait trop lui rappeler, également, que la vie des Français a changé, en moins bien, non pas à cause de la Russie, mais à cause des sanctions occidentales.

« La Russie est un adversaire. Le régime du Kremlin est notre adversaire. Mais, nous ne sommes pas en guerre contre la Russie. Nous sommes prêts à répondre à une escalade possible de la Russie. La paix, ce n’est pas la capitulation de l’Ukraine ». La paix n’est pas la capitulation de l’Ukraine, mais l’Ukraine n’est pas en position de gagner, dit-il juste avant ? Le Russe est notre adversaire, mais nous ne sommes pas en guerre, alors que nous envoyons tout de même de l’argent et des armes ? Il veut dire quoi exactement ?

« Notre capacité nucléaire nous donne une sécurité »… il compte utiliser l’arme nucléaire, ou Poutine va l’utiliser et il devra répondre ?

Sur le couple « Brigitte » et Emmanuel Macron? qui est qui?

 

Le RN majoritaire à l’Assemblée en cas de dissolution ? Le sondage secret qui fait waouh !


 

 

Nicolas Gauthier 15 mars 2024

Un secret ne le demeure jamais bien longtemps. 

La preuve par ce sondage Ipsos commandé par Les Républicains, en décembre 2023, et qui se retrouve, ce 15 mars, dans les colonnes de L’Obs. Établi sur un panel de quatre mille personnes sondées, il est donc de ceux que l’on peut prendre un tant soit peu au sérieux.

Sérieuses, ses conclusions le sont tout autant. Ainsi, en cas de dissolution de l’Assemblée nationale, le Rassemblement national pourrait obtenir entre 243 et 305 sièges. La majorité absolue se situant à 289 sièges, le mouvement présidé par Jordan Bardella serait donc en droit et capacité de cohabiter avec l’Élysée.

Une NUPES en peau de chagrin

Un scénario d’autant plus plausible que le nombre de députés macronistes passerait entre 117 et 165 sièges, contre 246 aujourd’hui. Plus à gauche, la NUPES – ou plutôt ce qu’il en reste, sachant qu’elle s’en va dispersée au scrutin européen de juin prochain – devrait se contenter d’une maigre représentation : entre 55 et 79 sièges, contre 131 obtenus en 2022. Du côté des Républicains, le statu quo serait de mise, leur possible étiage se situant entre 44 et 60 députés, contre 62 à ce jour.

Une dissolution de l’Assemblée nationale permettrait donc au parti d’Éric Ciotti de conserver ses troupes, tout en le privant de son rôle de faiseur de roitelet. Mais quelle est la latitude politique d’un mouvement qui comptera bientôt plus d’élus que d’électeurs ? Surtout quand on sait que sa base populaire est partie vers le RN, son électorat progressiste chez Renaissance et son homologue conservateur tiraillé entre Reconquête et le Rassemblement national. Résultat ? Ce n’est pas sur lui qu’il faudra compter pour renverser la table. Ces choses écrites, deux observations s’imposent.

La première est que ce sondage reflète, finalement, l’actuel état de l’opinion française, corroborant au passage d’autres sondages relatifs aux élections européennes à venir, confirmant inlassablement les mêmes tendances.

vendredi 15 mars 2024

Des officiers parlent de leurs troupes : « Face aux Russes, la France est une armée de pom-pom girls »


Des documents militaires français secrets montrent qu’il est impossible pour l’Ukraine de gagner la guerre – Des officiers parlent de leurs troupes : « Face aux Russes, la France est une armée de pom-pom girls ».

Le journal français Marianne a publié des extraits de documents militaires secrets qui suscitent un tollé en Europe et dans le monde, car ils traitent de la situation sur le terrain en Ukraine sans le déguisement de la propagande qui imprègne la quasi-totalité des rapports sur le sujet.

Dans l’article, les journalistes français voulaient comprendre ce qui était arrivé au président Emmanuel Macron pour qu’il envisage d’envoyer des troupes en Ukraine.

Ces « rapports confidentiels défense » expliquent la « panique » à l’Élysée.

En ce qui concerne la perspective d’envoyer des troupes pour combattre les forces russes, ils ont été incroyablement directs dans leur évaluation.

Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent être « sortis du placard ». Il ne faut pas se tromper, face aux Russes, nous sommes une armée de pom-pom girls », se moque un officier supérieur, convaincu qu' »envoyer des troupes françaises » sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ».

La principale conclusion à tirer de ces documents est qu' »une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible ». Les forces russes mènent « une guerre lente et longue, de haute intensité, basée sur l’usure continue de l’armée ukrainienne ».

Emmanuel Macron “fait peur” - JT du vendredi 15 mars 2023



 Publiée le 15/03/2024

A la une de cette édition, la prestation baroque du président de la République à la télévision. Emmanuel Macron a continué de parler de la guerre.

Plusieurs pages européennes ensuite avec un portrait de Céline Imart, numéro 2 sur la liste des Républicains pour le scrutin de juin.

Nous évoquerons également le conflit qui oppose le Parlement à Ursula von der Leyen à propos de la Hongrie et enfin une résolution adoptée par les eurodéputés sur la conscience historique européenn

C'est la faute des russes

 

 

Si macron pense pouvoir jouer aux petits soldats sans conséquence, il se trompe lourdement